Mackay est une petite ville de presque 67 000 habitants au nord de Brisbane dans le Queensland. Ses alentours ne sont que paysages époustouflants et vues à couper le souffle. Laissez-vous porter par cette visite qui vous fera mourir d’envie de prendre un billet d’avion straight to Australia.
Les jardins botaniques de Mackay
Cet endroit, bien que dans la ville, est apaisant et ressourçant. Il offre une diversité de la faune par les centaines d’espèces d’oiseaux y habitant, les tortues s’y reproduisant et les milliers de poissons nageant dans le grand étang. Je me suis assise un instant et j’ai observé. J’ai observé les papillons bleus, oranges et verts qui voltigeaient autour de moi. J’ai observé les fleurs dont l’eau submergeait presque l’entièreté. J’ai observé les millions de petites fourmis transportant une infime partie de feuilles ou une miette de pain laissée à l’abandon. Que la vie est belle.
La forêt enchantée de Niaouli
Appelé Malaleuca en anglais, le Niaouli est une espèce d’arbre originaire d’Australie. Il est exploité pour ses fleurs pour le miel, mais aussi pour ses feuilles produisant des huiles essentielles. Un petit ponton en bois sinueux m’a emporté dans cette forêt enchantée. Il y avait seulement, moi, les centaines de Niaoulis et le chant des oiseaux berçant ma promenade. Le vent faisait grincer le tronc des arbres. L’atmosphère était intrigante. C’était comme si le temps était en suspens pendant un instant. Je me suis amusée à trouver la plus belle araignée qu’il soit. Certaines étaient poilues. D’autres avaient des pois recouvrant leur petit corps. C’était une balade enchantée.
The Lambert lookout
Ce point de vue offre un paysage spectaculaire sur l’océan indien. Durant le printemps et l’hiver, on peut observer les baleines, mais aussi les tortues de mer. J’ai longtemps regardé les vagues s’écrasant sur les rochers. Je me suis imaginée ce qui pouvait bien se passer là-dessous. Cet endroit si mystérieux, si effrayant.
The shoal point
Quand je suis arrivée, c’était la marée basse. J’étais comme face à un désert et la mer au fond paraissait comme un mirage. Je me suis alors imaginée perdue dans cette immense étendue de sable. Le soleil tapait. Ma gorge sèche réclamait désespérément de l’eau. Je m’y serais vraiment cru si le moteur d’un bateau résonnant au loin ne m’avait pas extirpé de mes pensées.